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jeudi, octobre 09, 2003

Faire ses propres photo N&B chez soi quand on est pas pro ! (première partie - par Aith)

Mais quelle idée n'est ce pas, de vouloir parler de cette technique archaïque a l'époque du numérique! Ben vous verrez

Techniques classiques:

Meuh..non c'est pas dur enfin pas le noir et blanc faut juste avoir le temps et une salle de bain assez grande avec une bonne ventilation ! et se dégoter du matos pas trop cher ça c'est déjà plus dur :/ Le mieux c'est de le faire au moins une fois avant avec une personne qui sait déjà faire elle vous donnera tout de suite les petits trucs ;) après on peu expérimenter en solo sans problème.
(Pour la couleur là c'est autre chose c'est un peu plus compliqué)
- Je commence par ce site car ça résume bien comme c'est simple ! plouf on fait le développement de la péloch (c'est long et chiant si vous avez la flèmme vous pouvez l'emmener dans n'importe quel labo photo du quartier et lui demander uniquement le développement du négatif comme ça vous passez directement a l'étape suivante, j'espère que des photographes ne m'entendent pas ils vont crier ho! sacrilège; vous perdez par contre le contrôle sur cette phase mais la suite est bcp plus amusante si le négatif est correctement développé). La deuxième étape le tirage avec son jolie petit agrandisseur (ça c'est le plus cher :/ désolée mais le premier prix neuf (l'axomat de chez meopta c'est le moins cher je crois) c'est dans les alentours des 300 euro mais en générale c'est sous forme de kit pour débutant mais ça marche très bien! avec l'agrandisseur ils offrent le compte pose, les cuvettes éprouvette et autre babioles thermomètres pinces ect..)
- Pour plus de détail sur la matos nécessaire ce petit site est bien fait! Vous apprendrez par expl à quoi sert le scoponet ect…
- FAQ.RC.photo (de supers bon conseils pratiques)
- Cours photo pas mal fait
- Tout ce que vous voulez savoir sur le papier photo noir & blanc
- Technique photo : super site tres complet !
- Site de PH 7 : un historique des différentes type de sels utilisé moi je ne connaissais que les sels d'argent ben on découvre qu'il y a aussi les sels de fer et de chrome . Ce site possède aussi une bonne page de liens bien garnie
- Artotal encore !!! mais tjs de super liens !

Apres si vous voulez faire des effets vous pouvez outre les techniques de photo tel les virages colorés (kit chez colorvir par expl y'a de quoi faire! Perso J'ai un petit faible pour les virages sépia ), teintures, masquages ect…. ajouter des couleurs acrylique faire des collages ect…..

photo de virage sepia

mercredi, octobre 08, 2003

Jeu : Qui suis-je ?

(Voici la vie de mon compositeur classique préféré à vous de deviner son nom)

Compositeur allemand (Bonn, 1770 — Vienne, 1827).
Né d'un père musicien de cour au service des princes-évêques, tout comme son grand-père, il est déjà capable, à douze ans, d'assister l'organiste Christian Gottlob Neefe, son professeur de musique. Il ne devient cependant jamais l'enfant prodige dont son père avait rêvé.

Envoyé à Vienne en 1787, il doit bientôt revenir dans sa ville natale en raison de la maladie de sa mère, qui meurt quelques mois plus tard. La garde de ses deux jeunes frères, Kaspar Karl et Nikolaus Johann, lui est confiée en 1789, lors de la mise à la retraite de son père, devenu alcoolique. Trois ans plus tard, il quitte à nouveau Bonn pour Vienne, où il étudie auprès de Joseph Haydn et d'Albrechtsberger.

En 1794, l'occupation de la Rhénanie par les forces françaises brise les derniers liens qui l'attachent à cette région, et le prive des subsides accordés par la cour. Il ne quittera plus Vienne, si ce n'est pour quelques concerts dans les villes proches ou pour de longs séjours d'été à la campagne; en 1796, le seul long voyage qu'il entreprend le mènera à Prague, à Dresde et à Berlin.

N'occupant aucune fonction officielle en Autriche, il subvient à ses besoins en donnant des concerts, en enseignant le piano et en vendant quelques-unes de ses œuvres. L'aristocratie viennoise ouvre ses salons à ce pianiste exceptionnellement doué pour l'improvisation et apporte son aide au compositeur démuni: en 1809, les princes Kinsky et Lobkowitz et l'archiduc Rodolphe lui garantissent un revenu annuel.

Les trente dernières années de sa vie sont cependant marquées par une série de drames personnels, dont le premier est l'apparition de la surdité. Dès avant 1800, les symptômes de ce mal l'affectent dans sa vie plus que dans son travail. Le désespoir puis la résignation qui s'emparent de lui apparaissent clairement dans sa correspondance et dans le «Testament de Heiligenstadt», un document adressé à ses frères vers la fin de 1802. Le compositeur surmonte toutefois ce moment difficile et compose dans les années suivantes une série d'œuvres triomphales particulièrement novatrices (3e, 5e, 6e symphonies).

Dix ans plus tard, une autre crise naît de la rupture de ses relations avec «l'immortelle bien-aimée» (probablement Amalie Sebald ou Thérèse Brunswick), jamais exactement identifiée par ses biographes; il s'agit pourtant là de la passion féminine la plus intensément vécue par ce compositeur, à qui les femmes paraissaient souvent inaccessibles. L'apathie dans laquelle le plonge cet épisode réduit considérablement son activité créatrice. Qui plus est, sa surdité s'aggrave: jouer en public lui devient impossible et, pour communiquer avec ses interlocuteurs, il lui faut une ardoise ou du papier (ses «cahiers de conversation»). Puis en 1815, à la mort de son frère Kaspar Karl, commencent cinq années de batailles juridiques: il veut se voir confier la garde de son neveu Karl, alors âgé de neuf ans, en qui il place son dernier espoir de vie familiale. Lorsque, au cours de l'été 1826, Karl tente de se suicider, le compositeur vit un ultime drame: sa santé commence à décliner et il s'éteint à Vienne, le 26 mars 1827.

Élevé entre une mère malade et un père alcoolique, il a espéré toute sa vie créer la famille unie dont il avait été privé, enfant. L'absence d'un amour partagé et la précarité de sa situation financière contribuèrent sans doute à forger cette figure de lutteur à la vitalité torrentielle: «Je n'ai encore jamais vu un artiste plus puissamment concentré, plus énergique, plus intérieur», avouera Goethe à son propos après leur première rencontre.

Impulsif, coléreux, mais aimant la plaisanterie, les boutades et les calembours, le compositeur affirme à chaque instant son intense besoin de liberté: il déteste jouer sur commande, refuse de servir ou de plaire, affiche sa sympathie pour la Révolution française et la démocratie anglaise.

Durant toute sa vie, il s'efforce de contrôler sa sensibilité à fleur de peau: «Les artistes sont de feu, ils ne pleurent pas.» ce compositeur, que l'on a parfois cru, à tort, misanthrope, est obsédé par l'idée d'un monde fraternel, d'une humanité paisible: «Tous les hommes sont des frères», clame son message dans l'Ode à la joie de Schiller, qu'il met en musique dans le final de sa 9e Symphonie (1823).

Anecdotes :

Le nom des planètes, des satellites et autres corps célestes est donné par une commission internationale composée d'éminents scientifiques. Pour donner ces noms, cette commission s'est donnée des règles. Par exemple, les objets gravitant autour de Vénus reçoivent des noms de femmes célèbres. Récemment, le représentant de la France dans cette commission a proposé de donner le nom de « La Pompadour » à un satellite de Vénus. Refus immédiat du représentant américain. Motif : on ne va tout de même pas donner un nom de courtisane à une étoile. Bon. Cet homme a fait honneur à la réputation de puritanisme des Etats-Unis.
Mais le représentant français n'avait pas dit son dernier mot. Le lendemain, il a proposé de donner à ce satellite le nom de « La Goulue. »
— La Goulue ? C'est qui ça, La Goulue ? demande le représentant américain.
— C'était la modèle de Toulouse Lautrec, le grand peintre français, lui répond-t-on.
Un modèle, c'est moins grave qu'une courtisanne a dû penser le représentant américain, car il a accepté. Et dire qu'on a failli croire qu'il était cultivé car il connaissait La Pompadour !
(Source : émission d'Yves Calvi sur le droit spatial, Europe 1, 14.3.2000,sur le site du chasseur d’anecdotes cf liens a droite)

mardi, octobre 07, 2003

FIAC 2003 (Foire internationale de l’art de Paris)

Du 9 au 13 Octobre 2003. Le 9 : 12h-22h, Le 10 : 12h-20h, Le 11 et 12: 11h-20h, Le 13 : 12h-18h.
Hall 4 Paris expo , Porte de Versailles.
Entrée 14€. Tarif réduit : 7€
site de la FIAC

Ce qui est dommage c’est le prix sinon c’est en générale très intéressant.